Cliquez ici >>> 🪅 la sécurité est l affaire de tous

La sécurité est l’affaire de tous”, voilà un slogan qui devrait faire réfléchir la municipalité sur les responsabilités qui sont les siennes en la matière et la politique inverse qu’elle mène aujourd’hui en réduisant les effectifs de la police municipale. Avec ses décisions de ne pas remplacer les agents en partance, on est loin des promesses de Unepiqûre de rappel ne fait jamais de mal. C’est dans cette optique que le maire de Saint-Georges-lès-Baillargeaux, Éric Ghirlanda Lasécurité, c’est l’affaire de tous. Arnaud Lacroix. Publié le 24-02-2010 à 12h10 - Mis à jour le 24-02-2010 à 12h38 ©AVPRESS. HENSIES. Les autorités locales se basent sur l’avis des citoyens pour améliorer la sécurité . SÉCURITÉ Suite aux inquiétudes des citoyens engendrées par l’insécurité sous toutes ses formes, l’administration La#Sécurité est l’affaire de tous ! Sur tous les sites, de nombreuses actions sont déployées pour améliorer la sécurité de tous. Chaque accident peut être évité ! Sur juillet, le Lasécurité est l’affaire de tous / Uriage s’engage auprès de l'AP-HP. URIAGE S’ENGAGE ET PARTICIPE A L’APPEL DE FONDS D’URGENCE COVID 19 de l’AP-HP. Uriage s’engage auprès de la Fondation de l’AP-HP Assistance Publique - Hôpitaux de Paris en répondant positivement à l’appel de soutien exceptionnel pour soutenir le personnel soignant et Site De Rencontre Gratuit Dans Le Tarn. Propos recueillis par Carole PirkerSpécialiste en sécurité de l'information HEC Lausanne, Solange Ghernaouti-Hélie nous offre un regard critique sur la sécurité informatique. Entretien pour les internautes, les menaces ne visent plus seulement les équipements, elles visent aussi leurs données personnelles, les informations transmises et les transactions d’identité phishing et le vol de données sur Internet sont en constante hausse. En faisant main basse sur les données individuelles des internautes pour leurrer et frauder en toute impunité, les cybercriminels évitent surtout de devoir endosser la responsabilité des actes délictueux qu’ils commettent. En se faisant passer pour une entité connue de l’internaute sa banque, le gestionnaire de son service de messagerie, etc., les criminels obtiennent tout ou partie de ses données personnelles identité, mots de passe, numéro de compte des internautes, pour commettre ensuite des actes illicites au nom des victimes dont ils ont volé l’identité. Si l’action fait l’objet de poursuites judiciaires, l’identification du véritable malveillant sera impossible et l’internaute, dont l’identité aura été usurpée, en sera tenu responsable!A combien s’élèvent les dégâts liés à ces fraudes en Suisse? Nous n’avons pas de chiffres pour la Suisse. Il est donc difficile d’en estimer l’ampleur. Cela dit, au niveau international, le taux de délits dénoncés serait autour de 20%. Ce chiffre très bas s’explique ainsi les entreprises, comme les personnes victimes d’attaques ou de fraudes sont la plupart du temps impliquées à leur insu logiciels espions. De plus, il n’est pas toujours facile, pour une victime, de dénoncer un délit ou un crime, parfois par peur du ridicule, pour ne pas nuire à l’image de marque d’une personne, d’une entreprise, et parfois du fait du sentiment d’inutilité de la démarche, ou encore de la complexité de celle-ci. La Centrale d’enregistrement et d’analyse pour la sûreté de l’information MELANI de la Confédération suisse, à Berne, met à disposition des formulaires pour annoncer les délits et publie régulièrement un point de situation sur les incidents se protéger lors de transactions financières ou de téléchargements? Il n’existe hélas pas de protection absolue. En revanche, des moyens techniques comme les protocoles de communication, qui chiffrent les données transmises sur le réseau, permettent une transmission sécurisée des données. Tous les opérateurs de transactions commerciales ou bancaires y ont recours. Cela dit, cette méthode n’est pas infaillible non plus. Attention aussi lors de téléchargement de données, car il n’y pas moyen de savoir si elles contiennent un virus, par exemple, surtout si l’on ignore qui en est l’auteur. En principe, tous les logiciels, services ou données que l’on peut télécharger gratuitement contiennent des outils qui permettent de pirater la machine de l’utilisateur. Tout ce qui est trop beau pour être vrai constitue généralement un appât pour infecter la machine des internautes !Les solutions de sécurité Internet sont-elles vraiment la » solution? Les pirates n’ont-ils pas toujours une longueur d’avance? Comme toute solution informatique, les solutions de sécurité peuvent êtres contournés ou mises à mal. Ce n’est donc pas parce qu’on a installé un logiciel de sécurité firewall, antivirus, chiffrement, etc. qu’il s’agit d’une protection contre tous les types d’attaques possibles. Certes, si cet outil est bien utilisé et mis à jour, il renforce la protection du système, mais le niveau de sécurité obtenu n’est que relatif. Les solutions de sécurité répondent, à un moment donné, à un problème spécifique ; mais le savoir faire criminel multiplication de ces fraudes a entraîné la méfiance des internautes vis-à-vis du commerce en ligne. Comment restaurer la confiance du consommateur? Je ne suis pas sûre que le consommateur, avant la médiatisation de tous les problèmes, ait réellement eu confiance dans le e-commerce. Quoi qu’il en soit, il n’a aucun moyen de vérifier la qualité de sécurité du système. Il est donc obligé d’avoir confiance s’il souhaite utiliser le e-banking. Le seul choix qui lui reste est un non choix ne pas faire de transactions financières sur Internet!Au fond, à qui profite cette économie cachée de la malveillance? Si la criminalité profite en premier à ceux qui la commanditent, qu’ils soient des criminels isolés ou en bandes organisées, ne sous-estimons pas le bénéfice pour les entreprises légales, qui savent tirer parti de l’insécurité. Les fournisseurs d’anti-virus, d’anti-spams, les vendeurs en conseils, solutions et produits de la sécurité informatique n’ont jamais été aussi nombreux et le marché de la sécurité est en pleine expansion !Il y a aussi ceux qui instrumentalisent la peur et qui commanditent, par exemple, des attaques, pour faire ensuite voter des budgets sécurité, pour déstabiliser, manipuler, vendre, ou corrompre des processus de décision. Sans compter ceux qui bénéficient directement du surplus de trafic généré par le spam opérateurs, fournisseurs de capacité ou d’infrastructures, ou ceux qui profitent du blanchiment d’argent réalisé via Internet. Et que dire enfin de ceux qui profitent de l’espionnage industriel réalisé via Internet, ou de ceux qui tirent un bénéfice des actions de déstabilisation de l’image d’un pays ou de l’arrêt des serveurs gouvernementaux?Pourquoi cette criminalité est-elle possible? Parce que nous sommes devenus dépendant des technologies de l’information et que personne distributeurs, fournisseurs ne veut supporter le coût de la sécurité. C’est plus rentable pour eux que les coûts soient supportés par les consommateurs achats supplémentaires de formation, de produits, remplacement du matériel infecté, etc. ou par la société coût de fonctionnement des instances de justice et police, notammentCette criminalité est aussi devenue possible par la numérisation de l’information. En effet, l’information numérique est fragile, il n’y pas d’original, elle peut être copiée à l’infini. Ces nouvelles technologies outils, services, le matériel, le logiciel comportent ainsi des failles exploitées par les malveillants. La dématérialisation des acteurs augmente aussi le risque de vol des données ou de vol d’identité. Il y a aussi la spécificité du réseau Internet, qui permet de mettre en relation systèmes, données et personnes. De ce fait, ces ressources se retrouvent ouvertes sur le monde extérieur ; elles deviennent des cibles potentielles accessibles au monde criminel. Ainsi, plus le nombre d’utilisateurs et de système raccordés à Internet augmente, plus le nombre d’attaques augmente! Il s’agit en fait d’un problème complexe impliquant des dimensions politique, économique, légale, technologique, dit la loi suisse sur la fraude sur Internet? Le politique lui donne-t-elle selon vous les moyens d’agir? Sans vouloir m’aventurer trop sur le terrain légal », la distinction existe entre l’obligation de moyens et l’obligation de résultats. Concernant le devoir de protection contre des escroqueries ou celui des fraudes électroniques, je crois que nous ne sommes actuellement dans aucun de ces criminalité sur Internet représente un défi de taille pour le système suisse de poursuite pénale, fortement marqué par le fédéralisme. En effet, lutter efficacement contre la cybercriminalité requiert une volonté politique forte, une mobilisation de tous les acteurs publics et privés, une certaine organisation, ainsi qu’une grande collaboration au niveau cantonal et fédéral. Au regard des enjeux de la lutte contre la criminalité, j’ose penser que cette collaboration puisse être efficiente malgré le fédéralisme, pour le bénéfice de toute la société et pour la stabilité économique du on peut penser que, au niveau suisse, se retrouvent les mêmes types de problèmes qu’au niveau international lorsqu’il s’agit de collaboration entre les pays. Il faut contraindre cette collaboration au-delà de la déclaration d’intention, et la sous-tendre par des directives fortes largement reconnues et adoptées. Dans l’absolu, la collaboration nationale, en Suisse, ne devrait pas poser trop de problèmes, et chacun devrait pouvoir se mobiliser pour travailler ensemble à la réalisation d’un objectif national risque encourt la Suisse si elle devait rester dans l’attentisme? Il y a plusieurs niveaux et types de niveau localTout d’abord, il existe le risque qu’il n’y ait pas de service en ligne disponible, du fait de l’absence de sécurité ou de la criminalité, ce qui obligerait à repenser les services de proximité au client réouverture de guichets, personnel compétent, disponibilité de ces services sur des tranches horaires étendues. C’est ce propose Internet pouvoir obtenir un service une information n’importe où, n’importe quand, à partir de n’importe où. Réinstaurer de la réalité du monde réel, avec de vraies personnes qui entrent en communication, en relation dans un souci de réalisation de service personnalisé et de qualité, je ne suis pas sûre que cela soit préjudiciable pour le revanche, il y aura toujours des transmissions électroniques à partir de ces guichets réels vers des systèmes informatiques. La transmission devra bien sûre être sécurisée – mais cela sera de la responsabilité du fournisseur de services et de non de l’utilisateur final, le consommateur. Ce dernier aura en cas de problème les moyens de se retourner contre une institution qu’il connaît, avec laquelle il a passé un contrat de niveau internationalLe risque d’une politique attentiste serait peut-être un risque d’image si la Suisse est perçue comme étant un paradis digital un paradis digital est l’équivalent pour Internet du paradis fiscal ; soit un pays ou le crime informatique n’est ni puni ni poursuivi, ce qui n’est clairement pas le cas. La Suisse joue le jeu de la coopération internationale, dispose d’infrastructures et de capacités pour lutter contre la cybercriminalité. Elle n’a jamais été montrée du doigt par la communauté internationale sur cette question-là!Pourquoi ne pas saisir la dimension d’opportunité » du risque? Plutôt que d’alimenter une course aux contre-mesures de sécurité, souvent perdue d’avance, pourquoi ne pas en effet s’arrêter pour réfléchir à la signification de notre dépendance aux technologies de l’information et de la communication? Il ne faut pas oublier à cet égard que la notion du plus de sécurité » se traduit le plus souvent par moins de liberté pour le citoyen innocent »! S’il convient de lutter contre la criminalité, il ne s’agit pas pour autant de perdre en liberté individuelle, en libre arbitre, en respect de l’intimité, qu’elle soit numérique ou suisseN’allons donc pas trop vite dans l’adoption dans l’urgence de mesures juridiques ou technologiques inefficaces du point de vue de la sécurité du citoyen, et de la protection des biens et des valeurs, mais mettant à mal les valeurs démocratiques et les droits fondamentaux. Ne sous-estimons pas la volonté de certains pays ou acteurs les plus forts à vouloir nous imposer leur manière de réaliser la sécurité, leurs lois, justement parce que le problème paraît important à résoudre rapidement. La tentation est en effet forte d’adopter dans l’urgence un savoir faire étranger. Celui-ci dépossèderait pourtant la Suisse de sa compétence, de son autonomie, de sa capacité à se déterminer en fonction de sa culture, de son savoir faire spécifique de son contexte, et au final, de sa pas devenir l’otage des technologies de l’information, encore moins des solutions de sécurité légale ou technologique imposées par d’autres soi-disant pour notre bien et le bien de la planète, est une obligation. L’attentisme dans ce cas, peut alors constituer une bonne étape dans la voie de la résolution du problème made in Switzerland ! S’il permet d’éviter de répéter les erreurs des autres, de dépenser des efforts inutilement, d’adopter des solutions pires que le mal, je dirai que finalement l’attentisme a du bon sur le long terme!Par ailleurs, je ne suis pas si sûre que la Suisse soit en retard par rapport aux pratiques courantes dans d’autres pays équivalents. Il ne faut pas croire que l’herbe est toujours plus verte chez le voisin ! Souvenons nous que la loi pour la confiance dans l’économie numérique en France LCEN-2004 n’a pas spécialement contribuée à l’essor du commerce en ligne, ni à maîtriser la cybercriminalité!Faut-il faire payer à l’utilisateur sa propre sécurité? La réponse est résolument non ! Développer une culture informatique est certes nécessaire afin de ne pas devenir une victime facile » pour un cybercriminel. Cela dit, la sécurité est l’affaire de tous et en premier lieu de ceux qui fournissent des services via Internet, des fournisseurs de produits, de solutions, d’équipements et autres intermédiaires techniques. La cybercriminalité et sa composante de sécurité l’autre facette de la médaille ne relève pas exclusivement de la capacité pour un consommateur à utiliser un ordinateur ou un réseau, qu’il ne peut pas contrôler, même s’il est formé! Il faut contraindre les fournisseurs de solution à prendre leur responsabilité au regard du risque criminel. Article réservé aux abonnés Mardyck. - Chaque année, plus de soixante salariés sur mille sont victimes d'un accident du travail. Les statistiques font état d'une lente diminution de ces accidents, notamment dans la sidérurgie, bien que les progrès restent lents. Sauf dans certaines usines comme celle d'Usinor-Mardyck Nord où le problème a été pris à bras-le-corps. A l'atelier " laminoirs ", on en est aux huit cent treizième jours sans accident. Au décapage, on a enregistré vingt-six mille heures de travail sans déplorer un blessé. Les affiches renouvelées chaque jour par les salariés sont là pour rappeler que l'usine s'est lancée dans une vaste campagne de sécurité qui porte ses fruits. Pour la troisième année consécutive, l'établissement a reçu la " coupe de la sécurité " décernée par la société. Affichage, campagne d'information, du médecin du travail à l'agent de maîtrise en passant par les salariés, la sécurité est devenue à Mardyck " l'affaire de tous ". La direction a tout d'abord organisé des " cercles de sécurité ". Plusieurs dizaines de réunions ont ainsi sensibilisé les ouvriers. Les campagnes se sont succédé, sur le bruit et l'alcoolisme par exemple. Les cercles de qualité et les groupes d'expression ont favorisé la prise de conscience sur la sécurité. Chaque accident fait d'autre part l'objet d'une enquête approfondie au cours de laquelle les causes sont exposées et les témoins entendus. " La sensibilisation des salariés à la sécurité est un véritable travail de fourmi, souligne Mme Brigitte Marc, médecin du travail à Usinor-Mardyck. Les salariés s'habituent au danger et le négligent. " Les résultats n'ont pas tardé à se faire sentir la moyenne nationale du taux de fréquence des accidents avec arrêt de travail était de 66 pour 1 000 en 1982, selon la caisse nationale d'assurance-maladie, la sidérurgie française était à 65 et Usinor à 44 pour 1 000. En 1983, le taux de fréquence des accidents à Usinor était tombé à 34 pour une moyenne nationale de 62. A Mardyck, les résultats sont encore plus spectaculaires sur mille six cents salariés cent quatre-vingt-deux accidents ont été enregistrés en 1974, soixante-quinze en 1980, vingt-quatre en 1984. Il vous reste de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Le CDG38, établissement public au service de tous les employeurs territoriaux de l’Isère est un centre de ressources et d’expertise pour les élus, les gestionnaires de collectivités locales, les agents territoriaux et le grand public. Nous répondons aux questions règlementaires, et nous apportons un conseil en gestion des ressources humaines. Nous assurons le secrétariat d’instances CAP, CTP, comité médical… et animons le dialogue social. Nous organisons des concours, favorisons la mobilité, et promouvons les métiers territoriaux. Nous sommes aux côtés des agents et des employeurs en matière de santé, sécurité et qualité de vie au travail, via nos équipes pluri-disciplinaires et nos contrat-groupes. Par Jean-François LafittePublié le 07/09/2017 à 3h42 Sans sécurité, pas de pacte social ! La sécurité est un élément de l’attractivité d’un territoire, mais elle a un coût. Ensemble, continuons à rester vigilant », a déclaré, jeudi soir, à Labenne, le sous-préfet, Lucien Giudicelli, en guise de conclusion à la réception de tous les acteurs de la sécurité estivale. Organisé tous les ans par la municipalité au dernier jour du mois d’août, ce moment d’échange et de partage permet de dresser les premiers bilans de l’été. Comme à Capbreton, la veille, le capitaine de gendarmerie a apprécié le renfort saisonnier de 70 gendarmes, dont huit dans la commune de Labenne. Il n’a pas été en mesure de fournir un premier bilan chiffré, qui fera toutefois apparaître un accroissement des affaires judiciaires au vu d’une fréquentation en hausse, notamment durant le mois d’août. Il s’est félicité que les huit gendarmes en présence aient permis de répondre aux différentes sollicitations de la son côté, le commandant Piet, représentant le centre de secours, n’a pas souhaité s’exprimer, le bilan définitif n’étant pas encore arrêté. Seuls les trois CRS et les sept maîtres nageurs civils ont donné une copie chiffrée de leur bilan. 390 interventionsEn revisitant la plage labennaise au cours de l’hiver, l’océan a joué en leur faveur. Les grandes marées hivernales ont, en effet, aplani la grève, ce qui a eu pour effet la suppression des rouleaux de bord si dangereux. 390 interventions auprès de baigneurs ont été recensées, dont 20 ayant entraîné une évacuation. À ces chiffres, s’ajoutent 450 petits soins, un procès-verbal pour exhibition et une affaire judiciaire qui aurait pu se terminer de façon dramatique sans la vigilance des CRS. Le moment venu, le maire, Jean-Luc Delpuech, a remercié l’ensemble des acteurs pour leur action et leur a donné rendez-vous pour une nouvelle saison, au cours de laquelle l’accueil de la gendarmerie sera amélioré. D’ici là, la saison se poursuit jusqu’au 17 septembre sur la plage et bien plus tard ailleurs, avec l’espoir que l’été indien sera clément, pour la plus grande satisfaction des nombreux vacanciers encore attendus. La Ville de Courseulles-sur-Mer et la Police municipale, en collaboration avec la Gendarmerie, lance une campagne de sensibilisation pour les cyclistes et utilisateurs de trottinette, skateboard, overboard ou rollers La Sécurité, c’est l’affaire de tous ! Le but faire comprendre que pour la sécurité de chacun, il est important de respecter le code de la route en toutes circonstances. Et sur la digue aussi ! Les vélos, trottinettes, rollers, skateboards et overboards sont interdits sur la digue tous les week-ends et jours fériés toute l’année et du 1er juin au 30 septembre inclus, sauf pour les enfants de moins de 8 ans et les services de sécurité. Nous avons pris cette mesure pour garantir la sécurité des piétons. Avec l’affluence l’été et les week-ends sur notre digue, les vélos ou tout engin roulant deviennent un danger pour les piétons » précise Francis Nicaise, maire-adjoint en charge de la sécurité. Ce mardi 13 juillet, de 16h à 18h30, 4 agents de la police municipale et 9 gendarmes étaient sur le terrain, notamment rue de la mer, à proximité du camping, place du marché et sur la digue, pour faire de la prévention et expliquer les règles aux locaux et vacanciers qui roulent de plus en plus en mobilité douce. Nous en profitons pour leur rappeler que toutes infractions à un coût et que nous ne pourrons pas toujours faire du préventif » explique Steve Houssaye, brigadier-chef principal à la police municipale de Courseulles-sur-Mer. Pendant ces journées de sensibilisation, nous donnons un dépliant avec les montants des amendes en fonction des infractions commises. Cela permet de faire une piqûre de rappel à chacun ». Une autre date d’opération de sensibilisation sera proposée le mardi 3 août. Article publié le vendredi 16 juillet 2021

la sécurité est l affaire de tous